UN CÂLIN À LA FILLE QUE J'AI ÉTÉ...
Timide et peu sûre de toi.
À cette petite fille délicate et sensible,
qui a pleuré et souffert.
Elle se sentait seule.
Un câlin à la femme que je suis devenue, têtue et imparfaite mais toujours sincère.
Fort avec un cœur toujours trop découvert.
À la femme qui essaie de s'améliorer et qui n'arrête jamais de rêver.
Pour la femme que je suis.
Pour tout l'amour que j'ai en moi.
À mes victoires et à mes défaites.
Pour toutes les fois où je me suis réveillée.
À tous les monstres que j'ai affrontés.
Un câlin à la petite fille que je suis toujours, que je serai toujours et qui s’épanouit désormais…
Auteur inconnu
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